La cavalière berlinoise a toujours été passionnée de musique, mais soyons honnêtes : en tant que jument, elle n’aurait jamais imaginé que ses sabots joueraient un rôle dans l’industrie musicale. Pouliche pleine d’espoir, l’idée de « devenir une légende de la musique » lui semblait plus utopique qu’une réalité.
Aujourd’hui, la berlinoise horsegiirL est en train de tout démolir. Cette DJ et productrice enflamme les dancefloors du monde entier avec des tubes comme « Pegasus » et « My Little White Pony ». Ses sets sont d’une énergie débordante : frénétiques, rapides et complètement déjantés. Elle fait vibrer la foule sur un mélange chaotique de tubes eurotrash des années 90 et 2000, de hardcore enjoué et de remixes hyper-pop entraînants qui vous feront rire et danser à la fois.
HorsegiirL est devenu un phénomène dans le monde de la musique.
Cette DJ et productrice mi-cheval, mi-humaine, est passée de modestes débuts à une véritable reine des festivals, grâce à un succès viral sur TikTok qui a fait danser le monde entier en quelques secondes. Rapidement devenue une chouchoute du public, elle a illuminé les scènes du monde entier, et elle prépare maintenant son prochain grand projet : un EP sur sa nouvelle vie de jet-setteuse.
Préparez-vous pour VIP, qui signifie « Very Important Pony », car, soyons honnêtes, elle a amplement mérité ce titre. Avec des concerts à guichets fermés, elle vit son rêve et crée une bande-son pour tous les amateurs de dancefloor.
La femme s’identifie comme un cheval, ce qui a contribué à son succès viral.
La DJ et productrice berlinoise domine le marché avec son mélange de charme équestre et de tubes Eurodance à haute cadence, qui fait fureur dans les festivals. Vous avez peut-être entendu son tube « My Barn My Rules », devenu viral sur TikTok, l’année dernière, ou peut-être qu’un ami aux yeux écarquillés vous a dit : « Hé, tu savais qu’il y a une DJ masquée qui prétend être mi-humaine, mi-poney, et qui ne déroge JAMAIS à son personnage ? »
Quoi qu’il en soit, vous avez sans doute entendu parler de cette scène. C’est une légende mystérieuse et rythmée qui met la fête et sa personnalité à l’honneur sur chaque scène. De ses rythmes endiablés à son allure de demi-poney emblématique, elle n’est pas une DJ comme les autres, et ses fans l’adorent !
La femme souhaite rester anonyme et éviter toute attention inutile.
Dans une interview accordée au Vogue britannique, la DJ a déclaré : « Je suis juste une fille de la grange. » Elle parlait à un journaliste à l’aide d’un logiciel de modification vocale.
Elle a expliqué : « Je suis célèbre depuis longtemps, mais surtout dans le monde animal. Je compose des chansons et je chante dans des spectacles country depuis un certain temps. Mon parcours dans le monde humain a commencé il y a environ un an, lorsque j’ai été remarquée lors d’une fête des récoltes par Whitney Horseton, une chanteuse pop bien connue. Tout s’est passé si vite depuis. »
Cette rencontre inattendue l’a amenée à se produire au Berghain, à The Cause, à Boiler Room et aux afterparties de Marc Jacobs.
L’ingéniosité de la femme a été motivée par des musiciens de renommée mondiale.
Dans son interview, cette femme fascinante et charismatique déclare : « J’ai grandi en écoutant beaucoup Crazy Frog et Hampton the Hamster. Mais du monde humain ? L’extravagance de Lady Gaga, Dolly Parton et le heavy hardcore né aux Pays-Bas et en Belgique. »
Elle a ajouté : « Je crois que le terme « chevalière » est utilisé par des filles qui adorent les chevaux. Elles participent activement à la culture. Je comprends que ce terme puisse être perçu comme péjoratif dans certains domaines, mais je crois que les gens commencent à l’associer à quelque chose de plus positif.
Être une « chevalière » est une bonne chose. On apprécie la nature, les animaux et les chevaux, et on aime passer du temps aux écuries. Et c’est formidable ! C’est bien ! »