Chaque jour, cette grand-mère se couvre de peinture argentée et sort. Vous n’en croirez pas la raison surprenante derrière sa routine unique ! 🌟
Nous vous présentons l’histoire touchante de Mumun, une grand-mère malaisienne qui a dû faire face à un énorme défi. Son parcours nous a beaucoup touchés et nous espérons qu’il vous inspirera également.
Mumun, une femme d’une soixantaine d’années, a dû changer de vie après que ses enfants ont divorcé et abandonné leur fils de deux ans, Reyhan.
On peut imaginer la douleur de cette grand-mère, obligée d’assumer des responsabilités parentales à un âge où beaucoup de gens pensent à se détendre et à se reposer. Pourtant, pour elle, c’était une situation désespérée. L’amour qu’elle ressentait pour Reyhan était au-dessus de tout.
Mumun, une femme d’une soixantaine d’années, a dû changer de vie après que ses enfants ont divorcé et abandonné leur fils de deux ans, Reyhan.
On peut imaginer la douleur de cette grand-mère, obligée d’assumer des responsabilités parentales à un âge où beaucoup de gens pensent à se détendre et à se reposer. Pourtant, pour elle, c’était une situation désespérée. L’amour qu’elle ressentait pour Reyhan était au-dessus de tout.
Avant cette histoire, Mumun travaillait comme femme de ménage. Mais sans emploi stable et avec un petit-fils à charge, elle a dû trouver une solution immédiate. Elle a vendu tous ses biens pour acheter des pots de peinture argentée, et est ainsi devenue une statue de rue. Oui, c’est vrai. Une statue vivante.
Chaque jour, elle se couvre le corps de peinture argentée, prête à affronter les intempéries et les regards indiscrets des passants. Travailler dehors sous le soleil brûlant est fatiguant, mais pour Mumun, c’est très important.
Elle reste immobile, avec le petit Reyhan dans ses bras, attendant qu’un passant généreux lui laisse une pièce de monnaie.
Mumun gagne entre trois et six dollars par jour. Pas grand-chose, n’est-ce pas ? Mais chaque centime sert à nourrir Reyhan. Lorsque quelqu’un dépose une pièce dans sa boîte, elle commence à bouger et à chanter doucement avant de revenir à un état d’immobilité.
Et ainsi elle répète ce cycle toute la journée jusqu’à la tombée de la nuit.
Mumun raconte à quel point il est difficile pour elle de jongler entre le travail, les soins à apporter à Reyhan et le souci constant de savoir si elle aura assez de nourriture pour son petit-fils le soir. « L’essentiel, c’est d’acheter à manger pour Reyhan », dit-elle.
Grand-mère ne se plaint jamais, déterminée à donner le meilleur à son petit-fils.