Avez-vous déjà expérimenté la vraie affaire—quelque chose que vous avez seulement entendu parler par le biais de publicités classiques et des émissions de TÉLÉVISION?
“M. Sandman, apportez-moi un rêve…” L’année 1958. Dwight D. Eisenhower est le Président, et de rock & roll commence tout juste à trouver sa voix. Mais ne dites pas que pour Les Choristes. Ce groupe talentueux de Sheboygan—Janet, Alice, Lynn, et Jinny—a pris les ondes par la tempête avec de douces harmonies de hits comme “Mr Sandman” et “Lollipop,” offrant pour la plupart une chapelle performances qui séduit les auditeurs.
Dans une rare apparition télévisée, Les Choristes—souvent comparé à un barbershop quartet—vitrine de leur hauteur-synchronisation parfaite. Souvenez-vous de ceux emblématique de “bum-bum-clochards”? Chaque “bum” a été chanté par un autre membre en rapide succession. La précision? Incroyable.
Alors que le ludique paroles pudiquement le demander à M. Sandman pour offrir un rêveur, beau compagnon, le groupe de la gracieuse présence et des robes élégantes évoquent un charme nostalgique et raffinée glamour d’une époque révolue.
Dans un lunatique torsion pour la performance, une jeune et charmante “Mr Sandman” apparaît sur l’écran de répondre à leur appel—un humour visuel qui contraste délicieusement avec le romantique tune.
Un plaisir de bits de trivia: Phil Everly de The Everly Brothers plus tard épousé la fille de Chordette Janet. Un vrai match dans musique ciel. Les Choristes aussi gagné une place particulière dans la culture pop de l’histoire quand ils sont apparus sur la première à la télévision nationale épisode de American Bandstand.
Bien que leur version de “Mr Sandman” est devenu le plus bien-aimé, il n’était pas l’original. Que le crédit va à Vaughn Monroe et son orchestre, qui l’a enregistré en 1954. Mais Les Choristes’ interprétation, enregistrée plus tard la même année, est devenu la version définitive—charmant, accrocheur, et totalement intemporel.
Une visionneuse de le mettre à la perfection: “Pas d’insultes. Pas tonitruante beats. Pas d’auto-tune. Juste de la musique pure.”
Un autre remémoré, “Ma grand-mère l’habitude de chanter pour moi, c’. Elle avait à partager des histoires d’être un sauvage adolescent dans les années ’50. Elle est ma meilleure amie et je suis reconnaissante que j’ai hérité de son amour pour l’époque”.