Je ne suis pas de ceux qui croient aux miracles. Mais ce jour-là… quelque chose d’extraordinaire s’est produit.
Il était tard le soir. Le soleil commençait à couler vers l’horizon, la peinture, le ciel d’un orange, presque irréel de la lumière. J’étais avec une équipe sur les lieux d’un effondrement soudain quelque part à la périphérie.
La structure en béton effondré après une explosion de gaz. 😮
Des cris, de la poussière, chaos. Nous avions été sans relâche combinant à travers les décombres pendant plusieurs heures. 😢Et tout d’un coup…
Et puis il y avait Rex, notre Berger allemand, formés à la recherche de survivants. Loyal, intelligent… et avec un sixième sens que je ne pourrai jamais expliquer.
Soudain, il s’arrêta brusquement. Il renifla le tas de débris, ou plutôt le petit écart entre deux blocs de béton.
Ses oreilles ragaillardi. J’ai su tout de suite qu’il avait remarqué quelque chose.
Il a commencé à creuser, discrètement mais de façon persistante. J’ai couru jusqu’, mon cœur battant. Je me penchai vers le bas, et là… j’ai vu.
Deux grands yeux noirs me regardaient. Un bébé.
Minuscule, recroquevillé dans un miraculeusement préservée creux. Il n’a pas pleurer. Il regarda Rex avec une sorte de calme et de curiosité, comme s’il avait toujours su nous aimerions venir.
J’ai gelé pour un moment. Ce n’était pas la peur ni hésitation. C’était juste… un moment.
Que congelés moment où la vie choisit de continuer. Rex s’approcha lentement, n’aboie pas, ne pas faire de mouvements brusques.
Simplement, il se pencha comme pour dire, “je suis ici. Vous n’êtes plus seul.”
Nous avons sorti le bébé avec précaution, dans le silence, comme si le moindre bruit pourrait ruiner la magie de l’instant. Quand je l’ai ramassé, il a attrapé mon doigt avec ses petites mains. Je n’ai rien dit.
Juste regardé Rex et hocha la tête. Sans lui, ce gamin ne serait pas ici.
Je n’oublierai jamais ce jour. Pas que l’air. Pas que le chien.