Les visiteurs du Centre Culturel Ararase au Brésil ont entendu un jour un bruit étrange. Les gens ont commencé à se plaindre et à demander aux gardes d’enquêter sur ce qui s’était passé parce que les sons ressemblaient à des cris étouffés.
Les cris étaient similaires à la façon d’éliminer l’odeur de chat des canapés et des chaussures, mais les chatons n’ont jamais été retrouvés. Les ouvriers ont cherché partout, mais ils n’ont pas pu le trouver. Quelqu’un a suggéré que les sons venaient du sous-sol, et il s’est avéré qu’ils avaient raison…
Certaines personnes croient que si l’animal est sous le plancher, il ne faut rien faire. La majorité a cependant insisté pour ouvrir la parole.
Ils ont contacté la compagnie d’électricité, qui a dépêché une équipe pour évaluer la situation.
Les travailleurs ont utilisé le son pour déterminer l’emplacement approximatif du piège à animaux et ont commencé à casser le sol avec précaution. Ils ont découvert un tuyau, l’ont coupé et les cris sont devenus extrêmement forts. Le chaton a été prélevé directement du tuyau par les ouvriers.
Le nourrisson a été transporté à l’hôpital, mais les grondements ont repris.
Les travailleurs ont commencé à taper sur le tuyau à la recherche du bon emplacement.
Ils y ont découvert un deuxième prisonnier. Mais ils n’ont pas abandonné et ont finalement sauvé quatre chatons, dont chacun s’est retrouvé coincé dans une partie différente du tuyau !
Il s’est avéré que les bébés sont en fait nés sur le toit, mais sont tombés d’une manière ou d’une autre dans le tuyau de gouttière. Ils se sont retrouvés piégés à divers endroits sous le bâtiment et ont été appréhendés.
Les enfants ont eu la chance que quelqu’un les ait entendus et ait insisté pour les sauver.
Les gens ont immédiatement commencé à aider les miettes sauvées après avoir entendu la nouvelle.
Les chatons sont actuellement surpeuplés dans le refuge; en grandissant, ils trouveront un foyer.
Pas moins de 9 vies ont été sauvées grâce aux visiteurs bienveillants et à la générosité de l’entreprise de services publics !