«Une dame éclipsée pose courageusement sur la plage avec son ventre de femme enceinte, même si c’est dangereux.»😱

Doctors said to this woman forget about babies!💔😢On the other hand, a diminutive lady brazenly poses on the beach with her growing belly.😲In the first comment, you may see what their babies look like👇🏻👇🏻

Alors que la plupart des couples mariés se voient demander « quand », Charli Worgan et son mari Cullen se voient souvent demander « pourquoi ».

En raison de leurs différents types de nanisme, les parents basés à Sydney sont régulièrement sous les feux des projecteurs des médias, la grossesse de Charli et de leur premier enfant étant l’un de leurs moments les plus mémorables.

L’heureuse maman australienne a créé un compte sur les réseaux sociaux pour informer les gens de l’évolution de sa vie de famille après la naissance de son premier enfant. Elle n’imaginait pas à quel point son compte serait populaire.

Après avoir donné naissance à deux magnifiques filles, Charli a accumulé plus de 300 000 abonnés sur Instagram.

Récemment, Charli a révélé qu’elle était enceinte de son troisième enfant depuis quatorze semaines, mais la nouvelle n’était pas entièrement joyeuse.

Chaque fois que Charli tombait enceinte, elle devait subir des tests génétiques approfondis. Les experts préviennent que les conséquences pourraient être graves si les enfants de Charli et Cullen héritent d’un ou des deux types de nanisme ou s’ils sont de taille moyenne en raison de leurs problèmes génétiques.

Charli a déclaré qu’elle était déçue car, contrairement à d’autres mamans, elle n’avait pas pu célébrer la 12e semaine de sa grossesse avec sa famille.

Alors que la plupart des femmes sont heureuses de pouvoir annoncer leur grossesse, à 12 semaines, je me préparais à subir une intervention appelée prélèvement de villosités choriales (PVC), comparable à une amniocentèse. Une grosse aiguille est insérée dans mon abdomen pour prélever un échantillon du placenta, dont le taux de fausses couches est de 2 %, afin d’analyser la composition génétique de l’embryon.

Après avoir appris que le troisième enfant de Charli pourrait être atteint de l’un des quatre nanismes potentiels, ils ont attendu de savoir laquelle de leurs deux filles, Tilba, 4 ans, et Tully, 2 ans, en serait atteinte.

Charli a précisé en écrivant : « Notre enfant serait de taille normale », dans une publication Instagram.
Comme moi, notre enfant serait rapetissé en raison d’une achondroplasie.

Le même type de nanisme dont souffre Cullen, la dysplasie gélophysique, affecterait notre enfant.

Notre enfant serait né avec un « nanisme doublement dominant », qui est mortel selon tous les médecins, en raison de l’héritage des deux anomalies génétiques. Si cela s’était produit, j’aurais pu choisir d’interrompre la grossesse ou de la mener à terme et de voir comment les choses évolueraient.

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