« C’est incroyable qu’elle soit plus attirante que n’importe quel autre mannequin : 😍 Une tatoueuse de 106 ans est entrée dans l’histoire en tant que top model ! » (Photos)👇

😍Elle est une vraie beauté même à 106 ans et meilleure que les autres jeunes mannequins😳Comment une tatoueuse est-elle arrivée au sommet du monde du mannequinat ?👏Voir ses photos professionnelles dans le premier commentaire !👇🏻👇🏻

La plupart d’entre nous sommes habitués à voir de magnifiques mannequins ou célébrités sur les pages de magazines, impeccables et vêtues de tenues accrocheuses. Pourtant, après plus de 130 ans d’existence, les magazines continuent d’étonner leurs lecteurs et nous rappellent constamment que la beauté n’a ni limite ni date d’expiration.

Apo Whang-Od, une tatoueuse de 106 ans originaire de la région de Kalinga, est entrée dans l’histoire en devenant le mannequin le plus âgé à figurer sur la couverture du magazine Vogue, reconnu internationalement. Elle a été photographiée à la fois à l’intérieur et sur la couverture de la version philippine du magazine, parue en avril. Le photographe Artu Nepomuceno a pris ces photos pleines d’atmosphère. La femme autochtone de 106 ans a été représentée sur la couverture portant des bijoux traditionnels, mais ses tatouages ​​étaient les principaux accessoires.

L’une des dernières de sa génération de tatoueurs, ou « mambabatok », comme on les appelle en Kalinga, Apo Whang-Od crée des motifs et des ornements uniques pour cette tribu. Elle perpétue un héritage millénaire en encadrant et en inspirant la prochaine vague de tatoueurs qui lui succèdent. Dans la méthode de tatouage traditionnelle connue sous le nom de « Batok », une épine de pamplemousse ou de calamondin est enfoncée dans la peau à l’aide d’un maillet en bois et d’un mélange d’eau et de charbon de bois.

Whang-Od a appris à tatouer manuellement à l’âge de seize ans, guidée par son père, et désormais tous ses tatouages ​​sont réalisés à la main. Grace et Eliang, ses deux petites-filles, perpétuent aujourd’hui son héritage.

Bea Valdes, rédactrice en chef de Philippine Vogue, a déclaré à propos du numéro avec Whang-Od en couverture : « Nous rendons hommage aux femmes sages et sauvages, qui se créent elles-mêmes et écrivent leurs propres histoires. »

L’article explore également l’histoire et les caractéristiques du barong, le vêtement traditionnel philippin fabriqué à partir de feuilles d’ananas, et le tissage de la pina, le costume national des Philippines. Nous ne pouvons qu’être impressionnés par la capacité de Whang-Od à faire en sorte que son art perdure à jamais malgré son âge avancé.

Se faire tatouer est une excellente façon de montrer son respect pour les traditions, mais il y a aussi souvent des histoires émouvantes cachées sous celles-ci.

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